Vous avez réalisé des travaux de rénovation énergétique sur votre logement principal, et pour cela, vous avez fait appel à une entreprise certifiée RGE ? Vous bénéficiez d’une économie d’impôt, par le biais du CITE, le crédit d’impôt pour la transition énergétique. Le CITE en effet a été reconduit en 2018, alors qu’il devait prendre fin le 31 décembre 2017. Qu’en est-il toutefois des retouches qui ont été apportées suite aux nouvelles mesures fiscales mises en place ?
Un crédit de 15% sur les dépenses réalisées
Le taux de la réduction d’impôt dont bénéficie le maître d’ouvrage est le premier élément à avoir subi un aménagement conséquent : il est passé de 30% à 15%. Toutefois, quelques dérogations sont prévues, en fonction de la nature de l’élément à installer, ainsi que de la date du paiement et de la signature de devis. La date du versement d’un acompte avant une certaine échéance est aussi prise en compte : en savoir plus sur le site du service des impôts. D’autres éléments par ailleurs ont cessé d’être éligibles au dispositif : ce sont les fenêtres, les portes et les volets isolants, ainsi que les chaudières à fioul.
Comment le remboursement du crédit est-il effectué ?
Tous les ménages faisant réaliser des travaux de rénovation énergétique peuvent bénéficier du CITE, peu importe le montant de leurs revenus. En revanche, le calcul tient compte du fait qu’il s’agisse d’une personne célibataire ou d’un couple avec ou sans enfant à charge.
Vous pouvez demander votre crédit impot avec harmonie : celle-ci est une entreprise reconnue garante de l’environnement. Elle vous permet en effet de profiter des avantages fiscaux cités plus haut, à condition que les travaux de rénovation énergétique de votre résidence principale aient été réalisés par ses soins : isolation thermique accompagnant les travaux de ravalement de façade ou de réfection de toiture, etc.